La lumière est LA chose nécessaire aux fondements de la vie sur Terre : énergie, présence d’eau, présence d’éléments chimiques essentiels (carbone, et photosynthèse permettant de convertir CO2 et H2O en O2 et glucose).

Nous avons évolué pendant 150 000 ans, et probablement bien plus, avec tout le spectre de lumière visible et invisible sur notre corps – dont nos yeux – et seulement en journée et avec une temporalité bien précise (longueurs d’ondes différentes au lever du soleil, à midi et au coucher du soleil).

Des espèces partagent les mêmes photorécepteurs non visuels que nous (cholestérol, vitamine B12, mélanopsine, encéphalopsine, neuropsine) : amphibiens (existeraient depuis 370M d’années), poissons (existeraient depuis 500M d’années).

La Terre tourne sur elle-même depuis environ 4,5 milliards d’années, donnant le rythme jour-nuit, auquel tout le vivant sur Terre s’est adapté, a fondé sa physiologie dessus, et nous sommes les seuls à avoir choisis de s’en découpler à partir de l’invention du feu, et la situation n’a fait qu’empirer, en particulier à partir du tournant industriel de l’humanité lors de l’électrisation de la surface de la Terre pour s’éclairer (invention officielle de la lampe à incandescence en 1879) : General Electrics et autres sociétés dans le monde.

Or, la lumière naturelle et l’obscurité sont deux faces du pilier n°1 de toute notre vie – ce pour quoi les gens sont heureux en été et pas contents en hiver -, elle est le synchroniseur n°1 de notre horloge biologique (rythme circadien) sans que ce soit sa seule fonction.

Aujourd’hui, depuis deux générations, nous avons des LEDs bleues hyper-énergétiques partout, de plus en plus nombreuses et de plus en plus énergétiques.

Non seulement la lumière artificielle après le coucher du soleil maintient éveillé longtemps et à un moment extrêmement néfaste, ce qui en soi est associé à un nombre gigantesque de maladies somatiques et psychiques (principalement par la baisse des fonctions mitochondriales, mitochondries de nos cellules qui fonctionnent avec la lumière naturelle et l’obscurité pour créer l’énergie nécessaire afin que que notre ADN nucléaire code pour les protéines qui maintiennent et développent nos fonctions d’être humain – le Professeur Douglas Wallace informe publiquement que 85 à 90% de toutes les maladies humaines sont liées à une dysfonction mitochondriale –, et par l’absence d’un bon rythme de sécrétion naturelle de mélatonine – molécule réparatrice par excellence par son effet anti-oxydant pour n’en citer qu’un)

mais aussi…

elle force tout l’organisme des êtres humains (en particulier notre système nerveux et cutané, qui sont deux interfaces majeures avec le monde extérieur et régulateurs de près ou de loin de presque tous nos systèmes : le système hormonal, digestif, immunitaire, mitochondrial…) à être hyperstimulé et à sous-fonctionner sous une lumière trichromatique – trois couleurs : une fausse lumière – absolument délétère,  énérgétique, pulsée, discontinue, non thermique, allumée au pire moment pour notre physiologie, tellement différente de celle du soleil.

C’est comme si, au lieu de voir un arbre avec tous ses détails (la Nature), on le représentait pixellisé avec une seule teinte de marron, de vert, et de jaune (l’Artificiel) et que nous devions nous satisfaire de cette situation, et que nous devions fonctionner grâce à elle (produire, travailler). Plusieurs heures par soirée. Mais nous ne sommes pas des robots exécutants sur ordinateur, et tout le monde le sent – à des degrés différents -, et pour le moment seuls quelques athlètes de haut niveau l’ont compris au point d’intégrer la biologie circadienne à leurs objectifs.

Conséquence tous les soirs, toutes les nuits et tous les lendemains depuis la naissance de la plupart d’entre nous : sécrétion massive d’ACTH et cortisol après le coucher du soleil, pregnenolone steal syndrome (le corps privilégie la synthèse de cortisol à celle des hormones sexuelles…), troubles du désir sexuel et fertilité, baisse de dopamine, augmentation du trouble affectif saisonnier (dépression hivernale), myopie, baisse des capacités de concentration, de compréhension et apprentissage, de mémorisation, de neuroplasticité, de récupération physique, augmentation des tendances addictives, augmentation de la vulnérabilité vis à vis des tentations alimentaires, résistance aux leptines (prise de poids), résistance à l’insuline, troubles de la glycémie, troubles digestifs, augmentation du risque cardiovasculaire, susceptibilité aux infections et augmentation du risque de cancers, déclenchement et exacerbation des migraines, troubles du métabolisme phosphocalcique (santé des os et des dents), baisse des défenses anti-oxydantes, impact photochimique sur la rétine, maladies neurodégénératives.

L’obésité commence dans l’oeil. Elle n’est pas réellement liée à un excès d’énergie à proprement parler, mais plutôt à un défaut d’efficacité énergétique dans les mitochondries. Le moteur ne marche pas et demande paradoxalement plus d’essence. Au lieu de réparer le moteur (lumière naturelle, obscurité), nous lui donnons plus d’essence (nourriture , et d’ailleurs souvent transformée et contaminée), ce qui agrave le problème (par exemple par la résistance aux leptines induite).

Et ceci, la lumière artificielle après le coucher du soleil ou avant son lever, n’est qu’une face du problème, l’autre face étant le mode de vie qui se passe entièrement à l’intérieur, caché de la lumière naturelle, en journée.

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À l’heure où tout le monde a un avis mais peu ont recherché la science, y compris de nombreux ophtalmologues formatés depuis leur première année de médecine – même si certains restent lucides -, à l’heure où tout le monde a un avis mais peu se déconnectent de leur quotidien artificiel pour se permettre de penser clairement – c’est à dire avec instinct – je vous le dis et le professeur Douglas Wallace le dit : aussi sûr que la dualité lumière/obscurité est la base de la vie, la lumière à un moment incohérent avec notre ADN – c’est à dire après le coucher du soleil – est la base des grands maux de notre siècle. Le monde a basculé avec l’éclairage artificiel par l’incandescence en 1879. En 1900, aux États-Unis, le cancer du colon était la 37e cause de mort, elle est aujourd’hui 2-3ème. La théorie de Darwin n’est pas suffisante pour expliquer cela ; c’est l’ADN mitochondrial qui l’explique.

L’absence du respect de notre rythme lumière – obscurité (et, découlant de ceci, de nos rythmes des saisons, et de nos rythmes de température) n’est pas le seul problème, mais c’est le problème source, impliquant d’autres problèmes à l’échelle individuelle et publique. D’autres fléaux sont à combattre, mais l’addiction à ceux ci est aussi souvent corrélée au problème source : sucre, tabac, sédentarité, alcool, boissons énergisantes chimiques, modifications de nos aliments.

Je n’écris pas pour faire peur. Je ne vends pas en faisant peur, vous le savez. Je veux juste que les gens se rendent compte que lorsqu’ils lisent un email, ils pensent lire un email, mais ils sont en fait bombardés d’informations néfastes dans leur rétine, rétine qui est le point de départ de toute leur vie – même lorsqu’on est aveugle et même si la vie reste plus complexe que la rétine : tout est en harmonie.

J’ai quitté mon cursus médical en neuvième année, j’ai changé de destin, ou l’ai-je accepté, pour changer positivement la vie des gens, vraiment le faire, pas du symptomatique, pas de la médecine déshumanisée, pas de la médecine inefficace.

Concernant le mode de vie, c’est le plus important. Elle démarre avec l’humilité de se soumettre aux lois de la Nature pour en saisir le plus possible, la connaissance des réalités scientifiques et surtout l’écoute de son corps et de son instinct.
Ce mode de vie intègre un produit selon moi indispensable aujourd’hui, encore plus lors des saisons froides et peu lumineuses, dont la génèse a commencé par un instinct dans ma tête, puis la recherche de la science disponible, encore et encore, et enfin le développement de verres sur-mesure et uniques basé sur cette recherche. Auquel j’ai ajouté le développement d’excellentes montures pour satisfaire absolument. La construction du verre a été un chemin long, parsemé d’embuches, ayant d’abord été trompé par quelques fabricants (car je n’avais pas les connaissances), puis ayant sélectionné en 2024 un seul fabricant de verres sur 113 fabricants contactés. Voici pourquoi tout ceci a pris du temps.

La majorité des marques de lunettes anti lumière bleue ne vaut pas grand chose, mais ne les connaissant pas toutes je ne les mets pas toutes dans le même panier. Les verres légèrement transparents ne marchent pas sur la bonne plage de longueur d’onde et font du mal à votre physiologie si vous les portez en journée.

Les verres des grandes chaînes d’optique, vendus comme étant anti-lumière bleue en journée, sont inefficaces cliniquement, délétères pour la santé, et pour le moment vendus par des personnes non formées sur la lumière (et la physiologie humaine), et parfois pire, par des personnes non formées qui disent savoir.

Vous le savez, le verre NIGHT ne couvre que les yeux. 

Il ne couvre donc qu’une seule interface – certes probablement la plus sensible, car les yeux, c’est le début du cerveau – avec le monde extérieur après le coucher du soleil, permettant entre autres de rétablir naturellement une partie de notre sécrétion de mélatonine.

Cependant, notre santé, notre bien-être, notre performance restent des équations complexes. Résoudre une variable importante est capitale mais non suffisante pour résoudre l’équation.

Le verre NIGHT ne résout donc qu’une partie du problème. 

Car le problème général vient de notre mode de vie, et c’est pourquoi je communique davantage sur celui-ci que sur le verre NIGHT.

– en journée : à l’intérieur, cachés des ultraviolets et infrarouges vitaux, cachés de la qualité du spectre entier de lumière visible (encore plus si verres transparents légèrement teintés « pseudo-anti-lumière bleue », ou lunettes de soleil portées trop longtemps), au lieu d’être dehors.
– en soirée : les yeux devant les écrans et tout notre organisme éclairé par une lumière artificielle, parfois une mode de vie complètement nocturne – soirées – au lieu de dormir.

Sans parler d’alimentation, hydratation, activité physique, habitudes sociales et épanouissement personnels qui ont bien changé ces dernières décennies (Ce sont les autres grandes variables, je pense).

Le verre NIGHT permet donc de respecter bien davantage cette interface entre nos systèmes et le monde extérieur : nos yeux.

Il permet de restaurer naturellement une partie de notre sécrétion de mélatonine, de rendre moins dépendants des écrans, de donner une plus grande chance à notre potentiel intérieur de s’exprimer.

Pour exploiter les possibilités offertes par le digital, sans souffrir des conséquences quotidiennes et futures (qui seront découvertes, ou qui seront cachées) de notre exposition inévitablement excessive à la lumière bleue artificielle après le coucher du soleil.

Pour permettre à tous d’accomplir ce que les autres pensent être impossible.